Une exploration de la racine arabe J.N.N, qui rassemble dans une même famille les mots jardin, paradis, fou, djinn ou encore le bébé dans le ventre de sa mère. Le principe d'écriture est de créer des étiquettes pour chaque mot et de les assembler, les combiner, les déplacer à souhait jusqu'à entendre sonner le poème.
Vivant dans la forêt depuis toujours, Myro est contrainte de fuir le jour où des machines s'attaquent aux bois. Dans sa fuite, elle rencontre des arbres surprenants et de mystérieux personnages qui contribuent tous à faire vivre la forêt.
Un tigre raconte ses goûts et ses désirs. Une évocation poétique de la sauvagerie et du sentiment de l'absence.
Toutes les nuits, dans ses rêves, la maison de Jean s'anime et le petit garçon peut communiquer avec elle, du plus petit objet qu'elle abrite aux murs qui la composent. Mais depuis qu'une chenille qu'il gardait dans une boîte est introuvable, tout se met à disparaître, des meubles aux objets qui lui sont les plus précieux.
Un catalogue d'anomalies propres à la langue et aux images : fables et mots dépareillés, conversations et conseils inutiles, tentative d'épuiser une cartouche de stylo bleu, etc. Des pages proposent au lecteur d'interagir avec le livre. Ces exercices littéraires et artistiques lui ouvrent la voie d'une création débridée et l'amènent à se questionner sur la définition de l'utile et du rentable.
Inspirés par les histoires traditionnelles du peuple des Bamilékés, ces contes expliquent avec humour divers phénomènes ou situations comme le changement de couleur du caméléon ou le cochon qui fouille le sol.
Les Moomins sont partis de la vallée. La boule en verre bleue du Renaclerican annonce de grands changements à mesure que l'obscurité de l'automne se propage. Jusqu'au soir où un rai de lumière apparaît au fond de la boule.
Jelly, une adolescente, est accusée d'avoir blessé Polo, son camarade. Ses amis cherchent à comprendre son geste tandis que le groupe de Polo le pousse à se venger. Jelly s'enferme dans le silence même lorsque son professeur la questionne et la punit. Un jour, elle disparaît et des méduses tombent du ciel. Tous les adolescents s'abritent sous un arbre où les attend Jelly.
La vie vaut-elle d'être vécue sans teckel ?
Assa n'a qu'un rêve, celui d'avoir un teckel. L'idée l'obsède au point qu'elle croit voir l'animal partout. L'auteure, par un jeu de formes, de couleurs et de camouflages, glisse la figure du chien dans ses images tout au long de l'album.
Des poèmes illustrés inspirés par des déambulations dans les villes du Caire et d'Alexandrie en octobre 2020.
